En tant que joueur d échec , j ai une certaine compréhension de ce noble jeu qui peut nous aider à se faire une idée claire sur ce qui ce passe à l échelle du monde:
Il y a une partie d échec qui se joue entre deux protagonistes principaux; avec participation d autres échéphiles:les USA et la RUSSIE; cette partie a commencé par l avance des pions, pour pouvoir déployer les pieces majeurs afin d occuper le terrain de l adversaire dans le but de la victoire qui se termine par un échec et mat.Les USA voulait une partie BLITZ ;seulement son vis à vis n acceptait pas ce genre de jeu, et l intervention des uns et des autres fait que la parie menaçait de se terminer par le nul: c est à dire le partage des points.
Le joueur POUTINE incarnant la RUSSIE; en bon stratege,rend la partie difficile pour son adversaire qui doit calculer chaque coup afin de ne pas perdre; ce dernier doit renoncer à son offensive batie sur l encerclement dans le but de réussir un mat à l étouffé.
Le président US dans le sillage de la tradition de jeu américaine provoque le sacrifice des pions pour avoir l avantage; il commence par le sacrifice des pions avancés (les jihadistes); puis les pieces mineurs ( les alliés comme la TURQUIE ; FRANCE ; ALLEMAGNE ) pour ouvrir des couloirs aux pieces majeures telles que la reine ou les tours pour un jeu plus agressif.
Seulement dans une parie d echec; on doit tenir compte non seulement de son propre jeu, de sa propre stratégie ; mais aussi de celle de l adversaire, et comme dans ce jeu guerrier la probabilité des coups et des combinaisons est infinie, aucun des joueurs ne peut maitriser totalement le sort de la partie qui reste ouverte car on peut remporter la victoire avec un minimum de pieces à condition de bien les placer.
Mais l imprévu, c est q une partie d échec peut dégenérer en affrontement réel entre les joueurs qui peuvent perdre leurs sang froid ;ils peuvent en venir aux mains et c est la menace que cette partie qui a commencé sportivement; ne se termine par une bataille rangée entre joueurs ; et meme entre spectateurs ; les supporters des uns et des autres peuvent s y méler : je crois qu il est temps d arreter la partie!
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